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20101111

Angel Witch – s/t


La NWOBHM, on vous en a tous rebattu les oreilles avec le thrash et Metallica, qui a eu le bon gout de reconnaitre ses influences (lars ulrich ayant même sorti une double compil sur le mouvement). Le 1er metallica étant très marqué (des riffs très tygers of pan tang notamment, du blitzkrieg et du holocaust forcément, et sincèrement « Phantom lord » n’aurait pas vu le jour sans le morceau « the prince » de diamond head…énorme influence sur metallica ce groupe, pas juste à cause de la cover de « am i evil »). Poussant sur un punk mourant, basé un bon terreau black sabbath, la NWOBHM a finalement durée peu de temps si on considère son avènement coïncidant avec la compilation « Metal for muthas ». Bref, on prend le heavy metal des pères, on oublie un peu le groove blues, on accélère comme le punk (juste un peu; c'est le thrash qui sera vraiment agressif)…et malheureusement un peu trop souvent des looks à base de permanentes improbables.
Assez divers en fait, le mouvement allait de groupe marqué metal melo (def leppard) à des choses plus sabbathiennes. Diamond Head, Tygers of pan tang, raven, saxon, holocaust (heavy metal mania et nigthcomers), blitzkrieg, witchfinder general étant les moins gay. Et n’oublions pas les monolithiques Iron Maiden ! Le mouvement a fini par crever, saturé par une tonne de groupe, et assassiné par le thrash…ce qui n’a pas empêché de survivre avec des iron maiden, une exception, les vétérans de Saxon et les ultra commerciaux def leppard. Evidement le souterrain n’était pas non plus complément mort (iron angel etc).

Avec Angel Witch on est en plein NWOBHM, tendance metal plus que black sabbath. Le riffing, la prod (quoique) et la voix sont donc datées . Groupe parait-il incontournable, je me suis penché sur le sujet, me découvrant un penchant pour le bon vieux doom. Bon j’avoue que le démarrage de l’album m’a fait très peur tant c’est cul cul et orienté US gay-zou permanenté avec soli et tout. Je remets en perspective en me situant comme ayant découvert le « metal » avec le 1er suicidal tendencies, puis le second morbid angel l’année de sa sortie (1991 eheh eh ) avant de m’adonner corps et âme au death metal baillant d’ennui à l’écoute d’iron maiden (même si j’adore killers ») ! Mais je m’égare, « Atlantis » une fois passé son cri de tapette s’avère bien plus solide, avec un riff presque sombre...vite rattrapé par un refrain gentillet. Sans être un énorme point faible la voix est un peu datée, et donne parfois trop dans le cliché.

Certains morceaux sont vraiment bons et sonnent parfois un peu inquiétant : « atlantis », « sorceress », les instru « devils tower » ou « dr phibes » (morceau issu du ep the loser, présent sur la réédition que j’ai) et surtout un « angel of death » qui tue vraiment…putain… c’est ça que j’attends de la NWOBHM. Mais le groupe semble plus intéressé par les refrains entrainant bien 80’s voir les pseudos ballades (« free man » pouark). Trop de cris de tapettes, et un album empiétant finalement trop dans ce que le metal a de « permanenté » pour moi…attention c’est n’est pas du glam non plus, je parle en fan de death metal (tout ça c’est blanc bonnet et bonnet blanc pour le bourrin que je suis). Etant donné le nom du groupe, les design et le revival je m’attendais à quelque chose de plus sombre et occulte là ou le tout est en fait trop gentil pour moi…heureusement que les années ont vite apporté Trouble et Candlemass pendant qu’on se faisait les nerfs sur un witchfinder general (plus black sabbath, lourd et délirant) ou un « ligthning for the nation » de diamond head (et un peu « borrowed time » qui est plus commercial...mais quelques bons titres dont le title track) tout en se disant que Satan serait mieux représenté par Venom et Bathory.

Bref cette période a plus marqué mon esprit de par la seconde vague de punk violent (street punk, oi, anarcho punk) avec les exploited, discharge, antisect et autres varukers (et leurs conferes suédois Anti cimex, mob47 etc)...péres du d-beat, du crust et du grind.Bref, une bonne chose que le thrash soit apparu…puis le death….Bon c’est en fan de death, abhorrant les soli à rallonge, les crétins en fute moulant headbanguant dos à dos avec un chanteur poussant des cris haut perchés que j’ai donné mon avis donc ça vaut ce que ça vaut… et quand j’entends NWOBHM je reste accroché à mon génial Killers de Iron Maiden (pourtant les autres albums me font chié de chez chié) ou death penalty de witchfynder general. Les fans de heavy metal par contre apprécieront car ça reste bien fait et a plutôt la gnaque….et iron maiden disait même que les Angel Witch étaient plus talentueux qu’eux !!! J’ai d’ailleurs du mal à capter que le groupe n’ait pas eu plus de succès (comme diamond head tiens, dans un registre différent) notamment quand j'entends un « dr phibes » qui mettra tous les fans de Maiden d'accord.

20101023

Sacrilege (UK)



Sacrilege (UK, pas les canadiens) a brièvement marqué la scène anglaise avec ses démos et son premier album. Cité en influence par des Doom, Extreme Noise Terror et autres Bolt Thrower, ce groupe vaut son pesant de cahouétes. Mené par une chanteuse, mais surtout par 3 anciens Varukers (rrrrrraaaahhhh une institution du punk/d beat), Sacrilege a marqué les esprits de par ses débuts assez violents. La demo 4 titres de 1984 est dans la droite lignée des Varukers ou Discharge (d beat), une dose de violence en plus de par un son et une épaisseur plus metal. Les hurlements de protestation de miss Tam contribue bien à l’ambiance offensive…bref un style efficace et direct, que The exploited affectionnera pas la suite. Unidimensionnels pour sur, ces 4 titres n’en restent pas moins un bon parpaing dans la tronche encore aujourd’hui.

La métallisation (thrashification pour être précis) va aller crescendo, mais de manière continue et il aura vraiment fallu attendre le 3eme et dernier album pour voir Sacrilege changer plus radicalement de style en se laissant attiré par la NWOBHM, Fates Warning et Trouble. La prod de la seconde démo, à l’instar de la première sied PARFAITEMENT au style, brute et puissante, ça ne rigole pas. Tam s’essaie à plus de « mélodies » au chant (comprendre autre chose que gueuler de manière monocorde). On note quelques riffs plus metal dans l’esprit et des parties plus lentes mais délivrés par la horde cela reste puissant.

Sur « Behind the realms of madness » la recette bête et méchante est pleinement maitrisée et « life line », « a violation of something sacred » sont de grosses claques punk/metal dans la tête, le genre de truc qui calme encore aujourd’hui et renvoie la scène « punk » moderne au statut qui est le sien : de la musique pour pré-adolescente. Par contre quelques titres type « shadow from mordor » plus ouvertement thrash mid tempo, ne sont pas forcément mémorables. « out of sigth out of mind », pas désagréable, se pose en synthèse thrash punk réussie. En résumé, un bon feeling se dégage de ce premier, trop court, ep malgré un arrière gout de semi raté sur quelques incursions thrash mid tempo.

Ces incursions thrash seront plus maitrisées sur les démos de 1986, qui atterriront sur le second ep « within the prophecy ». Si la prod des guitares et la volonté d’agression restent les mêmes, on dit presque adieu au punk et au d beat (musicalement et verbalement). Plus longs, les morceaux, en dehors d’une agressivité, de la prod et de la voix, rendent Sacrilege moins spécial et remarquable qu’il ne l’était. Bref c’est plus classique (le Slayer de hell awaits vient parfois à l’esprit), certes pas exempts de bons titres (« the captive » notamment) qui enchainent « teigneusement » les riffs, mais plus classique et moins violent. A noter que la prod de ces démos 1986 va mieux au morceaux par rapport à celle de l’album « within the prophecy ». La seconde démo de 1986 marque un changement plus notable : le chant de Tam se fait moins agressif et c’est bien dommage. Les guitares aussi, sont parfois plus progressives dans l’approche.

Bref, oubliez Onslaugth (UK) et vénérez Sacrilege, qui en métallisant à ses débuts le d beat et le crust, s’avère être un chainon manquant, toujours jubilatoire aujourd’hui sur certaines compos. Les 2 premières démos et le premier album sont clairement à écouter, on prolongera potentiellement avec les démos du 2nd ep proposant un thrash farouche (surtout la première). Très bonnes initiatives que sont les reeditions des démos chez xtreem (avec des rehearsal et un live) ou chez absurd…on attend la réédition du premier ep autrement qu’en version limitée (blood and iron records) car le dcd « behind…/within… » chez blackend est dur à chopper.

20091017

Voivod - la techtonique ça me tue



waou...TSOTL ne cesse de vous illuminer...tel Diogène, TSOTL, perdu dans une marée de releases cherche des disques...des vrais...

"VOIVOD - Killing technology - 1987 (Noise)

Les années 80 furent un âge d'or de l'anticipation et de la SF à tendance apocalyptique. La tendance s'est beaucoup exprimée au cinéma, a inspiré les paroles de groupes de metal émergents, mais peu d'entre eux ont exploité le concept à fond. Sauf Voivod, avec 2 albums War And Pain (85) et Rrröööaaarrr (86) à l'imagerie et à l'attitude dignes de Mad Max. Mais musicalement, Voivod n'est encore sur ces débuts discographiques qu'une interprétation extrémiste de Motorhead, au mieux un Venom cyberpunk. Killing Technology accélère radicalement l'évolution du combo vers les sonorités au vitriol qui ont donné aux canadiens le statut de groupe culte ultime.

L'artisan de la (r)évolution n'est autre que le regretté guitariste Piggy (RIP) dont le génie éclate au grand jour ici. Alors que la scène thrash/death naissante se focalise sur la vitesse brute et/ou la technique instrumentale, lui préfère regarder son instrument d'un autre oeil, sachant qu'il ne sera jamais un shredder, en bon fan de punk. Il s'en fout, il a compris que la guitare pouvait être autre chose qu'un support à branlette destiné à débiter des gammes au mètre ou des gros power chords qui tachent. En plus d'utiliser au mieux ses limites, il va pulvériser les prétentions déstabilisatrices de ses pairs, usant et abusant de la palette de sons déjantés qu'il sort de sa gratte, son ampli, et pas grand-chose enveloppé de 3 fois rien entre les deux. Piggy aura fait bien plus pour l'ouverture de la guitare à d'autres sonorités que ne l'a jamais fait Tom Morello (Fake Against The Machine), voilà ça c'est fait...

Sans rien perdre de la sauvagerie des épisodes précédents, Voivod invente carrément un nouveau style qu'aujourd'hui encore on a du mal à étiqueter. Cyber metal ? Thrash industriel ? Aucune trace pourtant d'électronique ici. Simplement, il existe une tension permanente d'un bout à l'autre du skeud, émanant de ces accords étranges, tordus et distordus et de cette voix lancinante et perverse (on aime ou déteste le chant de Snake... ) qui semble par moments perdre pied dans ce dédale de dissonances et de rythmes aux influences tribales. Pourtant la cohésion est là. Basse et batterie trouvent leur place dans le paysage inconnu défriché par la gratte, et ne manquent jamais de puissance en dépit de la production roots manquant un peu de profondeur. De là vient cet aspect 'rasoir électrique' de certains riffs qui rebute parfois le thrasher habitué aux sonorités plus orthodoxes, ça s'est vu... Le propos général du groupe a aussi évolué, passant de Mad Max à Alien (c'est schématique hein... ). Les compos dégagent une sensation de claustrophobie et d'un sentiment d'impuissance qu'on retrouve dans les lyrics et les cris hallucinés d'un Snake entre colère et terreur. Une atmosphère de huis clos vicieux et étouffant que n'allègent même pas les soli wock'n'woll, stoogesques de Piggy, c'est dire.

Que dire du songwritting ? ......."

fin de citation

wallaaa....la suite sur TSOTL

20090926

Loudblast original album classics : l'arnaque


Figurez vous que sony nous ressort le back catalogue des 1ers loudblast remasterisés avec une superbe intitulé "original classics"....century media nous avait deja fait le coup avec des disques généralement dispensables mais vendus comme je cite "death metal classics" !!!
Bref quand je vois écrit Loudblast et le mot original dans la même phrase !! j'ai l'mpression de lite un programme electorale...une symphonie de pipeaux...brrr ça fait froid dans le dos...et si on ajoute le mot "classics" alors là c'est le ponpon et le vieux con que je suis ressort cette chro de l'infame TSOTL
LOUDBLAST - Planet Pandemonium - 2004 ( Boycott/Next Music )
Il va être temps que tout cela cesse, il va être temps que l'on arrête de nous prendre pour des cons et que les labels renoncent définitivement à nous vendre chacune de leur nouvelle prod , généralement médiocre, comme l'album qui va révolutionner tout un courant musical !!!
Loudblast revient à grand renfort de phrases chocs, de slogans tapageurs en nous annonçant l'ultime album de death metal, quelques mois après sa sortie que reste t-il ? Rien ! Tout le monde a oublié ce skeud insipide que même les fans ne parviennent pas à défendre si ce n'est par le désormais fameux "oui mais en live ça pète". Désolé je ne suis pas train de vous parler d'un concert mais d'un album et je me fous de savoir ce qu'il donne en live (faut il que le groupe vienne jouer chez moi chaque fois qu'un soudaine envie d'écouter Loudblast m'assaille ??). Un album donc, parlons en. Premièrement il est triste de ne pas reconnaître sur cet enregistrement la griffe d'un groupe qui compte 15 grosses années de carrière, à trop vouloir suivre les tendances le groupe n'existe pas vraiment. Si opportunisme et sincérité font rarement bon ménage, opportunisme et identité ne se rencontreront jamais et ce disque le prouve une fois de plus! Après avoir fait du thrash quand le style battait son plein, du death typé Tampa quand celui-ci était à son apogée, du death plus mélodique teinté de heavy quand des maîtres comme Carcass ou Death tentaient cette évolution et même du néo metal (remember le douloureux épisode Clearcut), le groupe, sentant un retour du death metal sur le devant d'une scène extrême agonisant sous le poids des pompeurs de tous poils, refait surface avec un album de…death metal !! (Bingo !!). Evidemment, comme d'habitude, c'est avec quelques mois de retard qu'ils arrivent (on ne peut pas suivre un train en marche et être la locomotive de ce train !?!!) et prétendent "remettre les pendules à l'heure" comme ils disent, ou damner le pion à des pointures comme Nile, Immolation, Hate Eternal et consorts. Héhé. Les morceaux de cet opus sont sans saveur particulière, les plans sont sans originalité et à la limite du plagiat sur certains titres (le début de "Mindless mankind" et "Scarlet mist" doivent être des chutes de studio d'un quelconque enregistrement de l'Ange Morbide), le groupe se prend pour Gorguts sur "Last Sabbath" (épargnons nous un chapitre sur l'extraordinaire créativité dont a "bénéficié" le track listing). La prod. est claire et puissante mais banale même si, chose devenue trop rare de nos jours, le son de batterie est resté naturel.
Au final, après quelques écoute attentives, rien ne ressort à part quelques refrains efficaces effectivement taillés pour la scène ("World of vanity") et d'éparses moments qui nous font retrouver le groupe intéressant qui avait accouché de "Sublime Dementia" ou de "Fragments", non pas dans le style, mais dans le soin apporté aux transitions. Ce groupe appliqué, fin et presque ambitieux qui semble être aujourd'hui totalement résigné à manger les restes laissés par quelques glorieux leaders repus.
Bref, un album qui ne remet rien à l'heure mais qui confirme qu'il serait grand temps que le groupe s'achète une pendule et décide par la même de prendre un peu d'avance sur son temps. Followers not leaders !
fin de citation
vive le sens critique et mort au marketing !

20090913

Exhumation rafraichissante, Fall of because


En creusant dans les limbes du temps, on ne trouve pas que de vieux trucs deglingués...outre les bijoux en décomposition que tous le monde connait, TSOTL aime bien fureter la pelle à la main histoire de vous dégoter un peu de fraicheur...

Pour celle là on a attaqué le tombeau familial de Justin Broadrick...c'est profond et sombre (mais pas vraiment chaud et humide)...



FALL OF BECAUSE - Life is Easy - 1999 ( Invisible Records )

De tous les side-projects pré-Godflesh de J. Broadrick, Fall Of Because fut l’un des plus significatifs dans le sens où on peut ici établir une filiation directe entre les deux entités. Ce que nous avons là est une compilation de sessions « studio » et live, enregistrées entre 1986 et 87, soit immédiatement avant la formation de Godflesh. Le line up est d’ailleurs le même (Broadrick/Green/Neville), à la différence près que Broadrick est ici batteur/hurleur. Pas encore de boîte à rythme ici donc, mais déjà une grosse présence des samples (sur bande, en ces temps primitifs), des larsens (parfois en surnombre), et des pulsations tribales et hypnotiques (avec des accélérations punkisantes entre les deux) de la batterie, quasiment utilisée comme une percussion et solidement secondée par une basse légèrement distordue mais très présente, soit une base rythmique parfaite pour donner du corps aux déchirements samples/voix/guitare. Aucune trace d’overdubs, pas de noise-gate, ne parlons pas de triggs…Une approche musicale et esthétique radicalement moderne, à tel point qu’on a du mal à croire que ça a été enregistré il y a 20 ans !!! Enfin, certains aspects de la production (comme le son de la batterie) ne permettront pas l’auditeur de croire à une production (underground, hein) récente, mais quand même, c’est à des années lumières des canons de l’époque, qu’on parle de metal (même le plus aventureux des 80s), de new wave, d’indus ou même du rap encore naissant. Dans une certaine mesure, et plus pour l’esprit que pour le son, on peut rapprocher l’attitude de Fall Of Because de celle du Napalm Death de Scum, pas seulement parce que les deux sont de Birmingham et que Broadrick a un temps joué dans le groupuscule à géométrie variable qu’était ND en ce temps là, mais surtout parce qu’on sent (plus que ça, ça saute à la gueule) la même envie de hurler sa différence, son anti-conformisme, son aliénation et son dégoût d’un environnement de grisaille et d’économie agonisante qui n’a rien à offrir à la jeunesse issue du milieu ouvrier : une réalité, à l’époque du régime de Thatcher, pionnière en matière de fermeture d’usines et autres sites industriels qui avaient fait survivre des générations de banlieusards. Industriel, industriel…un terme qui revient à l’esprit à l’écoute de ce Life Is Easy, pourtant peu mécanisé mais qui porte les germes d’un son nouveau ou ces instruments autrefois normaux se mettent à imiter des machines, pour sortir des sons finalement cent fois plus passionnants parce que moins prévisibles. Souvent dérangeants, ces sons se font parfois carrément déroutants (‘Grind’, ‘Malewhoreslag’), plus rarement mélodiques, encore plus rarement humains (‘Merciless’), avant de terminer sur un délire tellement halluciné qu’il en devient presque trisomique (‘Survive’).

...


Fin de citation



pour la suite on se précipite sur TSOTL